Mois : juin 2022

Élections législatives 2022 : les résultats à Mouaville

À l’occasion du premier tour des élections législatives 2022, Anthony BOULOGNE (Rassemblement national) termine en première position à Mouaville avec un score de 36,36 %.

À Mouaville, le candidat Rassemblement national Anthony BOULOGNE est majoritaire et remporte l’approbation de 36,36 % des votants à s’être exprimés lors du premier tour des élections législatives 2022. 30,3 % des votants s’étant exprimés choisissent Jonathan RICHIER (LR). La députée NUPES sortante Caroline FIAT reçoit 18,18 % des suffrages exprimés.

Ergün TOPARSLAN (ENS), crédité de 6,06 % des votes, et Dominique BARBIN (DXG), Olivier HEDIN (DVC) et Xavier COUPAYE (Ecologistes), ex-aequo avec 3,03 %, obtiennent un résultat moindre dans la commune.

D’autre part, aucun inscrit de la localité n’accorde sa voix à Eric RICHERMOZ (Droite souverainiste), à Jeanne AMANN (Reconquête !), et à Xavier GEHBAUER (DXG).

Le taux d’abstention affiché dans la municipalité est de 58,54 %. Ce taux est plus haut que celui du premier tour des précédentes élections législatives, qui s’établissait à 50,68 %.

On observe un vote nul à hauteur de 2,94 % chez les votants de la ville.

Ce texte a été élaboré à partir de données fournies par le Ministère de l’intérieur. Ce contenu est créé automatiquement par la société Syllabs, partenaire agréé par L’Est Républicain.

Élections législatives 2017 : les résultats à Mouaville

À Mouaville, Cédric MARSOLLE (Front National) était majoritaire et a obtenu l’adhésion de 65,52 % des votants à s’être exprimés lors du deuxième tour des élections législatives 2017.

À Mouaville, à l’occasion du deuxième tour des élections législatives 2017, la majorité des voix exprimées a été remportée par le candidat FN Cédric MARSOLLE, avec un résultat de 65,52 %. 34,48 % des votants s’étant exprimés ont accordé leur soutien à la candidate La France insoumise Caroline FIAT.

Le résultat du second tour de Mouaville est allé dans le sens de celui du premier : M. MARSOLLE s’était déjà classé en première position avec 38,89 % des votes, quand Mme FIAT en avait récolté 2,78 %. Le report de voix a pourtant été défavorable au candidat Front National, qui a reçu 5 suffrages de plus qu’au premier tour tandis que sa concurrente La France insoumise en a reçu 9 supplémentaires.

Le taux d’abstention enregistré était de 50,68 % à Mouaville. Ce taux était égal à celui du tour précédent.

Le pourcentage de votes blancs s’établissait à 19,44 % des suffrages à Mouaville.

Ce texte a été élaboré à partir de données fournies par le Ministère de l’intérieur. Ce contenu est créé automatiquement par la société Syllabs, partenaire agréé par L’Est Républicain.

Communiqué : 

Accidenté lors de la spéciale N°8 à l’occasion de la troisième confrontation dans le cadre de la Stellantis Motorsport Rally Cup, le pilote réunionnais Nazim Bangui était transporté à l’hôpital de Saint Dié dans les Vosges par les services de secours présents pour ce Rallye des Vosges Grand Est.

Après un choc survenu à très haute vitesse, les moyens de secours lourds étaient déployés pour désincarcérer le pilote (découpe de la colonne de direction et démontage du baquet). Parfaitement pris en charge, le pilote était donc dirigé par les pompiers vers une batterie d’examens complémentaires. Sans jamais avoir perdu connaissance, le premier bilan scanner rassurait dans un premier temps le père de Nazim présent à l’occasion de cette course.

Le bilan radiologique dénotait par contre de la violence de l’impact. De multiples fractures étaient décelées et le corps médical gardait Nazim en observation avant de prendre une décision quant à une éventuelle opération chirurgicale.

Les spécialistes passaient donc ce matin au chevet du jeune pilote et annonçaient qu’une opération n’était pas jugée nécessaire.

Néanmoins, le diagnostic est lourd. « Outre les deux poignets fracturés, les radios font apparaître des fractures au niveau de plusieurs vertèbres ainsi qu’un tassement vertébral. » indiquait Nazir Bangui, le père de Nazim. « L’équipe médicale va lui confectionner un corset sur mesure et Nazim aura donc le dos immobilisé pendant au moins 3 mois. Au terme de cette première période les examens diront si on peut passer à la rééducation ou si cette période doit être prolongée. »

La saison 2022 en SMRC est donc bel bien terminée pour Nazim et son nouveau copilote Louis Luka, quasi indemne dans l’accident. Le navigateur en est quitte pour une grosse frayeur et quelques coupures aux mains suite au bris de glace. Les proches de Nazim optent pour un retour de Nazim à la Réunion pour cette période de convalescence alors qu’il venait de s’installer en métropole dans le cadre de sa carrière professionnelle d’infirmier.

C’est donc un long chemin parsemé de patience et de travail de rééducation qui attend Nazim pour les mois à venir avant de pouvoir prendre une quelconque décision quant à un retour éventuel à la compétition automobile. Nazim est attendu de retour à la Réunion cette fin de semaine.

Mohammed Ben Sulayem, le nouveau président de la FIA, est très occupé pour sa première année de mandat, avec notamment un travail important à réaliser pour favoriser la diversité et l’inclusion au sein du sport automobile.

L’une des volontés de la FIA est de renforcer la présence des femmes dans les différentes catégories, avec l’espoir d’avoir un jour un pilote féminin en F1.

Conscient du fait qu’il est actuellement difficile pour les femmes de parvenir à faire jeu égal avec les hommes à bord d’une monoplace, Ben Sulayem rappelle qu’elles sont déjà bien représentées dans les différentes disciplines.

« Regardez en karting, elles sont là. Et en rallye j’avais une femme pour copilote, mais vous ne ressentez aucune différence. »

« Notre discipline leur a toujours été ouverte. Alors pourquoi dire ’oh, nous autorisons les femmes ?’ Les femmes sont présentes partout : même en course de dragsters aux Etats-Unis, sur circuit, en rallye, partout. »

« Et quand ce n’est pas le cas, nous devons rendre ça possible. Les femmes ont ce problème en F2 et en F3 : peut-être que c’est physique, peut-être que c’est dû à la manière dont les voitures sont conçues, nous avons donc dit à notre commission médicale que ’nous voulons enlever cette barrière’. »

« Mais si nous enlevons cette barrière technique et que les femmes ne se qualifient pas, ce ne sera pas à cause d’une barrière. C’est à elles de faire en sorte d’être éligibles si la FIA a retiré ces barrières. »

Au sujet de la diversité, le président de la FIA explique que l’instance fait tout son possible pour recruter des talents à l’international, tout en offrant d’autres perspectives que celles de devenir pilote de course.

« Voici un exemple de diversité : lorsque vous repérez un talent, n’importe où dans le monde, pour le faire grandir il aura besoin d’une opportunité. C’est là qu’il est question de diversité. Vous devez offrir une opportunité à ce talent afin qu’il puisse grandir. »

« Et ce que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud ou en Asie, et pas seulement pour devenir pilote mais aussi pour devenir membre de la FIA, c’est ainsi que nous développons notre université en ce moment. Il est possible de rejoindre le sport et la mobilité à travers les programmes d’apprentissage universitaires. »

« En fin de compte, tout le monde ne peut pas devenir pilote. Il n’y en a que 20 en Formule 1. Mais il y a aussi toute la partie ingénierie. C’est là que nous intervenons. C’est pourquoi nous discutons beaucoup avec les équipes, afin qu’elles nous aident à obtenir plus de bourses pour certains ingénieurs. »

LE MANS, France – Les 62 voitures engagées dans la 90e édition des 24 Heures du Mans se sont élancées samedi sur le circuit de la Sarthe, où les hypercars Toyota sont une nouvelle fois largement favorites.

Les pilotes vont se relayer en piste jusqu’à dimanche, sous un temps qui s’annonce radieux, mais pas trop chaud non plus, après dissipation des derniers nuages en fin d’après-midi.

Cette année encore, la course devrait se jouer entre les deux Toyota. La no 8 (Sébastien Buemi, Brendon Hartley et Ryo Hirakawa), victorieuse en 2018, 2019 et 2020, s’est élancée en pole position, devant la no 7 (Mike Conway, Kamui Kobayashi et José Maria Lopez), qui s’était imposée l’an dernier.

En cas d’incident chez Toyota, trois autres hypercars sont en embuscade, la no 36 d’Alpine et la Glickenhaus no 709 qui partent en deuxième ligne, juste devant la no 708 du constructeur américain.

L’an prochain, de nombreuses écuries seront de retour sur le circuit de la Sarthe dans la catégorie reine pour l’édition du centenaire de la course.

Derrière les cinq hypercars : 27 LMP2 (des prototypes plus standardisés et moins rapides) sont en course, sept LMGTE Pro (dérivées de voitures sportives de série et représentant trois marques, Ferrari, Porsche et Corvette), 23 LMGTE Am (pouvant être pilotées par des amateurs pour des écuries privées).

Environ un quart des 186 pilotes engagés disputent leurs premières 24 Heures du Mans. Parmi eux, quelques têtes connues, comme l’octuple champion du monde de rallye Sébastien Ogier, sur la no 1 de l’équipe Richard Mille (LMP2) ou l’acteur germano-irlandais Michael Fassbender, dans la Proton Competition no 93 (LMGTE Am).

Comme vous l’entendrez dans la vidéo ci-dessous, la prochaine Classe S AMG a été bénie d’un grognement glorieux. Ce grondement épineux provient du V8 biturbo vivant sous le grand capot et produira sans aucun doute de grandes quantités de puissance. Le « e » désigne un moteur électrique quelconque et s’il ressemble à la rapid GT 63 S E Performance, nous nous attendons à ce que la nouvelle S63e produise une puissance combinée de 831 chevaux.

Pourtant, c’est une grosse voiture et même Mercedes ne peut pas déjouer les lois de la physique – elles s’en approchent cependant. Dans la vidéo, vous pouvez voir l’adhérence de la classe S de deux tonnes plus avec ténacité alors qu’elle attaque les virages difficiles du Nurburgring. Ce n’est pas une voiture de sport, mais c’est très impressionnant. D’un point de vue stylistique, le haut de gamme de la marque a reçu un traitement AMG assez sage, mais nous pourrons mieux juger une fois le camouflage retiré.

Le fournisseur organise notamment 3 webinaires centrés sur les produits CHARX qui équipent les bornes de charge de véhicules électriques.

Phoenix Contact a choisi le mois de juin « propice aux départs en vacances », pour présenter sa gamme CHARX lors de différents événements comptant un rallye de véhicules électriques, un salon sur le développement de l’e-mobilité et surtout, trois webinaires destinés en particulier aux fabricants, aux installateurs et aux responsables de maintenance des bornes de recharge.

Les produits CHARX équipent en effet les infrastructures de charge des véhicules électriques, depuis les connecteurs jusqu’au logiciel de gestion, en passant par les contrôleurs de charge.

Les webinaires débuteront le 16 juin prochain par une séance intitulée « CHARX connect ». Elle détaillera la gamme de connecteurs AC et DC composée des câbles et des prises, aussi bien pour le côté infrastructure que véhicule électrique.

Le second webinaire aura lieu le 21 juin sous le titre « CHARX manage ». Il traitera de la mise en réseau des bornes via des protocoles de communication standards et ouverts, tels que Modbus/TCP, REST, MQTT ou OCPP (Open Charge Point Protocol). Il abordera également la commande, la surveillance du parc, la gestion dynamique de la charge, la connexion aux systèmes de gestion des bâtiments et la planification de maintenances préventives.

La série se terminera le 28 juin par « CHARX protect » qui montrera comment protéger les stations de charge et les véhicules électriques contre les surtensions provoquées par la foudre ou les opérations de commutation dans le réseau.