Voici un tout nouvel encart qui va s’additionner à notre revue de presse sur « l’automobile ».
Le titre (Jean-Marc Finot : « Reproduire ce que nous avons fait à Portimão ») en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le pigiste est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Vous pouvez par conséquent donner du crédit à cette édition.
Voilà ll’article dont il s’agit :
Jean-Marc Finot, quel bilan tirez-vous des qualifications pour Peugeot à Spa ?
Nous nous trouvons là où nous pensions être. Spa est une piste que nous découvrons avec cette voiture. Nous avons utilisé les deux premières séances d’Essais Libres pour nous y adapter. Pour la troisième, il était difficile de tirer des conclusions à cause des conditions. Nous avons fait nos tours lancés assez tôt en cas de drapeau rouge. Nous étions sur le pic du pneu assez tôt et nous n’avons pas forcément profité de la meilleure piste. L’écart ne nous surprend pas particulièrement. Nous retrouvons l’ordre de différence que nous avons vu à Portimao et Sebring, moyennant tous les paramètres qui ont pu changer. Sachant qu’à Portimão nous avions l’avantage de connaître la piste.
Est-ce que Spa est plus à votre avantage par rapport aux deux premières ?
Par rapport à Sebring, oui. Le fait que Spa soit une piste lisse typée F1 ne pose pas de question sur la sensibilité de l’effet de sol. Par rapport à Portimão, il y a moins de virages à basse vitesse qui sont assez handicapants au niveau de la traction. Malgré tout, nous devons encore acquérir de la connaissance sur cette piste et nous en engrangeons.
Il y a eu de la pluie pendant les Essais Libres 3. C’était la première fois que vous y étiez confronté en compétition. Comment la voiture s’est-elle comportée ?
Nous avions eu l’occasion de faire des séances au Paul-Ricard où nous y allions pour trouver le soleil et où nous avons finalement eu de la pluie. Nous avons trouvé que nous étions plutôt bien sous ces conditions.
Qu’attendez-vous de la course ?
Reproduire ce que nous avons fait à Portimão, donc six heures sans rentrer aux stands. Sur un circuit comme Spa, il peut se placer plein de choses. Nous devons être là pour saisir les bonnes opportunités.
A LIRE AUSSI > Qualifications : Ferrari perd la pole au profit de Toyota
Le Mystérieux Docteur Cornélius – Tome II – Un drame au Lunatic-Asylum – L’Automobile fantôme – Le Cottage hanté – Le Portrait de Lucrèce Borgia – Coeur de gitane,A voir et à lire. . Disponible sur internet.
Voilà qui va vous intéresser : Un nouveau texte que nous venons de découvrir sur le web et que nous vous reproduisons ci-dessous. Le thème est « l’automobile ».
Le titre (Alpine donne un aperçu de son prochain concept | Actualités automobile) est parlant.
Le chroniqueur (annoncé sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez lire ces révélations en confiance.
– Alpine partage des images du concept électrique qu’elle va dévoiler le 9 mai prochain. – Le modèle, selon les rumeurs qui circulent, serait une version retouchée de la Cinq électrique que Renault compte commercialiser. – Alpine a signifié son intention de percer le marché nord-américain avec deux VUS qui sont à venir.
L’électrification offre des occasions nouvelles à quantité de constructeurs. En effet, peut-on imaginer qu’Alpine, cette division de Renault, aurait planifié présenter des modèles à essence en Amérique du Nord ?
Probablement que non. Cependant, à l’ère électrique, tout semble possible. En janvier dernier, Alpine confirmait qu’elle prévoyait percer le marché nord-américain avec deux VUS électriques. D’autres modèles pourraient aussi suivre.
Conséquemment, on va s’intéresser à ce que la marque française va nous présenter au cours des prochains mois et des prochaines années. Elle est d’ailleurs sur le point de dévoiler un concept qui préfigure le premier membre de sa future famille électrique.
L’étude prend le nom de A290 Beta. Les photos publiées aujourd’hui confirment qu’il s’agit d’une voiture à hayon. La version de production est prévue pour 2024. Selon les rumeurs qui circulent, il pourrait s’agir d’une version retravaillée de la future 5 prévue par la société mère Renault, un modèle inspiré de la Renault 5 originale des années 1970. Le modèle a été popularisé aux États-Unis sous le nom de « Le Car » alors que chez nous, on faisait référence au Chameau. Les plus vieux se souviendront des publicités à cet effet.
Alpine A 290 Béta – Logo
Photo : Alpine
Le concept A290 Beta fera ses débuts le 9 mai lors d’un événement au Royaume-Uni. Il sera présenté par Laurent Rossi, le chef de la direction d’Alpine, ainsi qu’Antony Villain, le responsable du design.
L’arrivée du concept va également marquer le début de la nouvelle stratégie de dénomination de modèles chez Alpine. Le premier chiffre va renvoyer à la taille et au positionnement du véhicule, tandis que les deux chiffres restants vont indiquer la présence soit d’un modèle sportif, soit d’un véhicule « style de vie ». Les propositions sportives utiliseront un 10, comme l’actuelle A110, tandis que les autres, comme le concept qui sera présenté, utiliseront un 90, d’où l’appellation A290 qui sera celle de la version de production.
On sait qu’Alpine travaille sur un VUS compact et un successeur électrique à l’A110. Les deux produits sont attendus respectivement aux alentours de 2025 et de 2026. Le successeur de l’A110 va mettre à profit une structure développée par Lotus, qui prévoit à son tour une successeure à sa sportive Elise. Pour le reste, on fera appel des plates-formes de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi.
Alpine a également fait allusion à deux VUS plus massifs, susceptibles de venir concurrencer les Porsche Macan et Cayenne. Ils sont attendus à partir de 2027 et reposeront sur des structures du groupe Zhejiang Geely.
Ces grands crossovers seront essentiels pour développer les ventes d’Alpine aux États-Unis et en Chine, bien qu’un lancement sur ces deux marchés clés n’ait pas été confirmé.
En fouillant internet nos rédacteurs ont repéré un post qui va vous séduire. Sa thématique est « l’automobile ».
Le titre saisissant (Ford Courier utilitaires en vente en Belgique) est sans détour.
Présenté sous la signature «d’anonymat
», le pigiste est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.
La crédibilité est ainsi parfaite en ce qui concerne ce papier.
Voici ll’article en question :
Ford Courier TVA RECUP/APPLE CAR PLAY-ATT REM-CLIM-BLUETOOTH
Occasion
– Diesel
– 98.547 km
Vendeur professionnel
5060 Sambreville
Bibliographie :
À travers l’Inde en automobile/48,A voir et à lire. . Disponible sur internet.
Guide du vélo en ville/Que faire aux intersections ?,A voir et à lire. . Disponible sur internet.
Voici le principal d’un article que nous venons de trouver sur le web. Le sujet va immanquablement vous intéresser. Car la thématique est « l’automobile ».
Son titre séduisant (Pratique assurance. Grêle : votre voiture pourrait être scannée) est évocateur.
L’écrivain (présenté sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Cet éditorial peut ainsi être pris au sérieux.
L’article source :
C’est à Mérignac, dans l’agglomération bordelaise, que Covéa expérimente pour les assurés de ses marques MAAF (Mutelle d’assurance des artisans de France), MMA (Mutuelles du Mans) et GMF (Garantie mutuelle des fonctionnaires), et en partenariat avec Dent Wizard, un dispositif autonome d’expertise des véhicules endommagés par la grêle.
Cette décision fait suite à une avalanche de dossiers de sinistres par grêle : plus de 100 000 pour l’année dernière. Née en 2003, Corvéa est la première société de groupe d’assurance mutuelle en France. Quant à Dent Wizard, sa spécialité est le débosselage des carrosseries sans peinture.
Un record de dossiers grêle
Avec ce nombre record de dossiers d’indemnisation, qui correspond à quatre à cinq années classiques, Covéa a ouvert 13 plateformes dédiées à l’expertise et la réparation, dont trois en Gironde. La plus grosse, celle de Mérignac, ouverte dès le mois de juillet 2022 dans un local de 1 800 m2 a vu défiler jusqu’à 175 véhicules par jour.
Pour mener à bien le test, les véhicules ont été doublement expertisées, tout d’abord un tunnel composé d’un scanner associé à des technologies d’intelligence artificielle puis une expertise classique sous un tunnel lumineux.
Traiter les dossiers plus rapidement
Quand la voiture passe sous ce tunnel, la machine relève en temps réel le nombre de bosses, leur taille. Une opération qui dure de l’ordre de 30 secondes par véhicule, là où un processus classique nécessite généralement une vingtaine de minutes. Le tunnel, qui coûte 150 000 euros, n’a pas vocation à être installé dans tous les centres de débosselage.
Il s’agit surtout d’un test qui va permettre à l’expert de gagner du temps en se recentrant sur son métier. Covéa travaille aussi sur un autre système expert qui permettra aux carrossiers de régler de façon autonome les petits chocs.
Essai de prospective environnementale. 2040, nord de la France…/À l’ombre des forêts,(la couverture) . Disponible à l’achat sur les plateformes Amazon, Fnac, Cultura ….
Polestar effectuera initialement le développement du groupe motopropulseur pour les 5 et 6 sur le site suédois
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par Brad Anderson
24 avril 2023 à 05:59
par Brad Anderson
Polestar établira une nouvelle installation de recherche et développement dans une usine de Trollhattan, en Suède, anciennement exploitée par Saab.
Les opérations seront basées sur un bâtiment de 15 000 pieds carrés sur le site et il effectuera initialement le développement du groupe motopropulseur de la Polestar 5 et de la Polestar 6. De plus, le constructeur suédois de voitures électriques testera les groupes motopropulseurs, les moteurs électriques et les batteries au centre. . Polestar a cessé d’acheter l’usine et la louera à la ville de Trollhattan.
La confirmation de l’emménagement de Polestar sur le site intervient juste un mois après que National Electric Vehicle Sweden (NEVS), qui fonctionnait auparavant hors de l’usine, a fermé ses portes. Le nouveau site de recherche et développement s’ajoute à ceux déjà exploités par Polestar à Göteborg, en Suède, et à Coventry, en Angleterre.
Lire : La Polestar 4 2024 redéfinit les coupés-SUV électriques
Bien qu’il soit raisonnable de supposer que Polestar chercherait également à établir une chaîne de production sur le site, cela ne semble pas être le cas. Interrogé par Auto News Europe si elle avait l’intention de fabriquer des véhicules à Trollhattan, un porte-parole de Polestar a déclaré que l’entreprise continuerait de s’appuyer sur ses marques sœurs pour la production. Actuellement, la Polestar 2 est construite sur un site de Geely en Chine tandis que la Polestar 3 sera construite à Chengdu, en Chine et en Caroline du Sud. Pendant ce temps, la Polestar 4 récemment dévoilée prendra vie sur le site de Geely dans la baie de Hangzhou, en Chine.
Alors que les prochaines Polestar 5 et Polestar 6 s’annoncent comme d’excellents véhicules électriques, c’est la Polestar 4 qui fait la une des journaux depuis son dévoilement la semaine dernière. Le véhicule brouille les frontières entre une berline et un SUV et s’appuie sur l’architecture d’expérience durable (SEA) de Geely. Il a un empattement de 2 999 mm (118 pouces) et a été conçu sans lunette arrière d’aucune sorte, permettant l’installation d’un toit en verre qui s’étend derrière la tête des occupants arrière.
Sur cette parution, un nouvel encart qui va étendre notre revue de presse sur « l’automobile ».
Son titre troublant (Le CF Montréal blanchit les Red Bulls 2-0 et retrouve le chemin de la victoire) en dit long.
Présenté sous la signature «d’anonymat
», le pigiste est positivement connu.
Vous pouvez ainsi faire confiance à cette actualité.
MONTRÉAL — Le CF Montréal pourra dire que ce n’est pas comment, mais combien. Le comment a toutefois offert quelque chose de plus positif que lors des dernières parties en MLS. Devant se débrouiller a …
Bibliographie :
Batterie d’accumulateurs/Charge de la batterie/Méthode de charge d’une batterie,Le livre .
L’Automobile en 200 questions,Le livre . Ouvrage de référence.
Les ressorts/Aspects énergétiques,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Pour lire en automobile/Prononciation antique/02,Clicker Ici .
Dans le cadre de notre tâche de vous informer, nous publions ci-dessous un encart de plusieurs lignes vu sur le web aujourd’hui. Le propos est «l’automobile».
Son titre séduisant (Championnat de France. Le Vosgien William Wagner loin du compte) est parlant.
L’auteur (présenté sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Le texte peut de ce fait être pris au sérieux.
Le papier a été divulgué à une date indiquée 2023-04-22 16:32:00.
RALLYE RHôNE CHARBONNIERES
Ce fut deux jours sans pour William Wagner dans le Rhône. Après les six dernières spéciales et un temps pluvieux, le pilote vosgien semble avoir grillé son joker de la saison. Avec un nouveau copilote, Loris Pascaud, le Girmontais a connu meilleur samedi, après avoir tenu bon sur le vendredi. La pluie s’est grandement faite attendre sur les routes rhodaniennes. Yoann Bonato, vainqueur de la dernière spéciale, en a profité pour s’imposer sur le fil au général, 6 secondes devant Margaillan. Il remporte son troisième rallye lyonnais. Pénalisé pour avoir coupé une chicane, Eric Camilli termine troisième de ce rallye à 14 secondes de la tête. Une bataille serrée qui a vu plusieurs changements de leader dûs à des stratégies de pneus différentes, mais qui a finalement souri à Bonato pour une dernière spéciale mouillée. Beaucoup de pilotes ont parié sur des pneus pluie dans une matinée sèche, et ont désespérément attendu les gouttes qui ne sont arrivées que dans l’après-midi.
Malchanceux, William Wagner avait opté pour les pneus pluie lors de la première rotation en limitant les dégâts, mais le choix des slicks l’après-midi lui aura coûté toute chance de points, terminant 78e à 5’48’’ de la tête de la 11e spéciale. Le pilote Volkswagen termine donc 13e à plus de 6’51’’, ce qui contraste avec sa solide 3e place au Touquet lors de la première manche. Ce week-end, le premier Vosgien s’appelait Eric Mauffrey. Au volant de sa Skoda, le Spinalien s’offre une 10e place, à 3’55’’ de Bonato.
Ce thème apporte des réponses à vos recherches vous adorerez tout autant ces ouvrages:
Voilà un nouvel encart qui va parfaire notre revue de presse sur « l’automobile ».
Le titre séduisant (Mission H24 : le futur de la course automobile s’écrira-t-il avec l’hydrogène ?) résume tout l’article.
Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’auteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour d’autres articles qu’il a publiés sur internet.
La confiance est donc parfaite en ce qui concerne ce post.
L’encart a été publié à une date indiquée 2023-04-22 01:32:00.
Alors que les moteurs thermiques entament leurs dernières années en compétition, l’avenir du sport auto s’écrit avec de nouvelles motorisations «propres». Si l’électrique s’illustre en Formule E, l’hydrogène est aussi exploité. En atteste Mission H24, une voiture de course qui conjugue ces deux technologies dans laquelle CNEWS a pu embarquer sur le circuit Paul Ricard au Castellet.
Il y a, dans le milieu des sports automobiles, ces moments où un véhicule écrit l’Histoire. C’est le cas de Mission H24, dont le projet lancé en 2018 et les prototypes qui sillonnent les circuits propulsent la recherche autour du véhicule à hydrogène de demain. «Il s’agit d’une voiture d’ingénieurs», s’amuse son pilote monégasque Stéphane Richelmi. Au volant du bolide Mission H24, cet ancien vainqueur des mythiques 24 Heures du Mans de 2016 en catégorie LMP2, revêt ici sa combinaison de pilote d’essai pour écrire le futur.
Il est 14h sur le circuit du Castellet ce 12 avril, lorsque cette véritable voiture de course s’élance dans un bruit digne d’un petit avion à réaction à l’allumage. Très vite, la voiture de 750 ch dans sa version course (650 ch dans sa version biplace) se montre moins bruyante, à bord seuls les bruits de la mécanique, du frottement des roues et de la propulsion électrique donnent le ton. Rivée au sol, le châssis issu d’un modèle LMP3 (Le Mans Prototype 3) attaque les virages, mais c’est surtout dans ses entrailles que l’équipe Mission H24 est à l’écoute de la télémétrie. Le véhicule avait même atteint officiellement 290,8 km/h en 2022 sur le circuit du Mans, signant un record de vitesse. Preuve que ce choix de motorisation peut être compétitif, tout en se montrant respectueux de la planète…
Car H24 mise sur un mariage entre l’hydrogène et l’électrique. Trois grosses bonbonnes d’hydrogène ainsi qu’une pile à combustible se cachent sous son châssis aérodynamique. Sur son toit, une immense entrée d’air permet de faire entrer l’oxygène.
Pousser les machines à leurs limites
«C’est la rencontre entre cet oxygène et l’hydrogène qui va créer une réaction chimique capable d’alimenter la pile à combustible en créant de l’électricité d’un côté et en rejetant de l’eau de l’autre côté. Ensuite, cette énergie est transmise à la batterie électrique afin de propulser le véhicule. Nous travaillons ici aux limites de cette technologie pour la rendre fiable sur route. Nous avons notamment démontré que nous sommes capables de faire une course de deux heures sans problème», explique Antoine Onillon, responsable embarcation power unit et système embarqué sur Mission H24.
«Nous avons dû relever plusieurs défis, notamment de finir toutes les courses auxquelles nous avons participées afin de prouver la fiabilité. Il nous a aussi fallu faire accepter aux autres que notre voiture ne représentait pas de danger et qu’elle peut rouler parmi les moteurs thermiques avec un niveau de performance acceptable. Nous voulons toujours faire mieux, plus rapide et plus fiable. Nous sommes sur une technologie entièrement nouvelle. Il nous a donc fallu «défricher», si j’ose dire, le sujet pour aussi donner envie aux constructeurs de s’engager dans ce domaine. Nous partageons d’ailleurs nos informations avec les constructeurs, ce qui leur permet de gagner du temps et de l’argent sur le développement de ce type de voitures», explique Antoine Larroque, responsable de l’exploitation du châssis et de l’organisation de l’équipe.
Contrairement à une voiture électrique classique, notre technologie permet de produire de l’électricité en roulant.Stéphane Richelmi, pilote
Et si la rencontre entre la mécanique et la technologie de pointe en font un prototype à part, c’est aussi à son volant que l’Histoire s’écrit. «En tant que pilote, il y a une grosse différence entre conduire une voiture thermique et une voiture à hydrogène, car la propulsion est ici électrique. D’autant plus ici que contrairement à une voiture électrique classique, notre technologie permet de produire de l’électricité en roulant grâce à la pile à combustible», précise Stéphane Richelmi.
«Mais la principale différence pour un pilote est l’absence de bruit et des rapports de vitesse. Ces derniers étaient importants avec les moteurs thermiques, puisqu’ils nous permettaient de jouer avec la boite de vitesse pour le frein moteur en entrée de virages et les relances en sortie de courbes. Néanmoins, il faut évoluer avec son temps et le sport automobile a toujours permis de faire avancer les technologies, car on parle aussi de compétition, ce qui crée une émulation. Nous sommes précurseurs ici et nous aidons à développer la prochaine réglementation liée à ce type de voitures», souligne le pilote, témoin de cette transition entre le thermique, l’électrique et l’hydrogène.
Mission H24 prépare surtout le terrain pour l’arrivée d’une nouvelle catégorie autour des véhicules propres, qui doivent concourir à l’horizon 2025 aux 24 Heures du Mans. «Cette course existe depuis 100 ans cette année, et on voit encore des voitures thermiques rencontrer des problèmes de fiabilité pour rouler sur 24 Heures. C’est donc un gros challenge pour les équipes, d’autant que cette technologie est encore récente, mais on y travaille», conclut le pilote.
A voir, ce texte sur le web dont le propos est « l’automobile » et qui est susceptible de vous séduire.
Son titre (Ogier se lâche contre ses pneus) parle de lui-même.
Sachez que l’éditorialiste (identifié sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable.
L’encart peut en conséquence être pris au sérieux.
Sachez que la date de publication est 2023-04-21 13:52:00.
Relégué loin des meilleurs sur crevaison dès la 2eme spéciale du rallye de Croatie, ce vendredi matin, Sébastien Ogier a terminé cette première journée à la 5eme place. Le pilote français, furieux contre ses pneus, a pourtant crevé une nouvelle fois, lors de la dernière spéciale.
Avec une minute et trente secondes de perdues dès la deuxième spéciale, Sébastien Ogier sait qu’il faudra un petit miracle pour qu’il puisse remporter le rallye de Croatie. Le pilote français, s’il a probablement abandonné toutes chances de victoire d’entrée, n’a pas l’intention pour autant de baisser les bras. Septième après cette ES2 qui l’avait vu crever après le départ puis s’arrêter pour changer sa roue, le Gapençais a en effet eu le mérite de se refaire une petite santé au fil des spéciales qui ont suivi et de retrouver un peu de couleurs au classement.
A l’issue de la première journée de cette quatrième manche de la saison, l’actuel leader du classement général avec trois points d’avance sur Thierry Neuville alors qu’il n’a prévu que de disputer sept des treize rendez-vous figurant au calendrier occupe ainsi la 5eme place du classement provisoire, à toujours près d’une minute trente (1’23”7) de son rival belge, qui occupe pour le moment les commandes avec un peu moins de six secondes d’avance sur Elfyn Evans. Le sort n’a toutefois pas rendu service à Ogier de nouveau.
Ogier : « C’est comme ça quand on roule avec des Pirelli »
Lors de la dernière spéciale, le héros du début de saison – il s’est imposé à Monte-Carlo et au Mexique lors des deux rallyes qu’il a disputés jusqu’à maintenant – a en effet été victime d’une… nouvelle crevaison, qui lui a coûté cette fois 6”6. Sans quoi, le successeur de Sébastien Loeb dans le trône de la WRC aurait repris du temps à celui qui doit se contenter pour le moment d’être son dauphin au classement du Championnat du Monde. La suite du week-end pourrait permettre à Ogier de diminuer l’écart avec Neuville.
Il semble en effet difficile d’imaginer qu’il ne connaîtra pas des jours meilleurs que ce vendredi marqué par ses deux crevaisons. Le pilote Toyota avait d’ailleurs beaucoup de mal à digérer, sans décolérer contre la qualité de ses pneus. « “Encore une crevaison. C’est comme ça quand on roule avec des Pirelli », pestait celui qui ne s’imagine pas être sacré en participant à aussi peu d’épreuves. « Le championnat n’est plus ma priorité. Sinon, j’aurais fait une saison complète », assure d’ailleurs l’intéressé, qui ne cracherait pas pour autant sur un troisième succès cette saison. Mais c’est bien mal parti.
Mécanique automobile/Vérification de l’état des pneumatiques,Le livre . Disponible dans toutes les bonnes librairies.
Pour lire en automobile/La Survie assurée/01,(la couverture) . Disponible à l’achat sur les plateformes Amazon, Fnac, Cultura ….
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