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A retenir : Il était une fois les 24 Heures du Mans.1952 : Mercedes signe sa première victoire . Sport

Voilà qui va vous satisfaire : Un nouveau post que je viens de voir sur internet et que nous vous produisons ci-dessous. La thématique est « l’automobile ».

Son titre suggestif (Il était une fois les 24 Heures du Mans.1952 : Mercedes signe sa première victoire . Sport) est parlant.

Sachez que le journaliste (identifié sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur le web.

Ce post peut par conséquent être pris au sérieux.

Trois éditions des 24 Heures du Mans ont eu lieu après la Seconde Guerre mondiale. En 1949, Ferrari s’impose pour la première fois puis c’est au tour de Talbot-Lago en 1950 et de Jaguar en 1951.

En 1952, les favoris sont multiples : Jaguar aligne trois XK 120 Type C, Talbot des Lago T26, Mercedes (de retour après 22 ans d’absence), engage trois 300 SL avec ses fameuses portières « papillon », Ferrari a amené une nouvelle 250 Sport aux côtés des 350 America, 225 Sport et 212 Export, Cunningham a ses C4-R et Aston Martin engage des DB3. D’autres marques comme Gordini ou Nash Healey comptent bien se montrer également. 57 autos sont au départ cette année-là.

La course

Ferrari occupe la tête de course dans les premières heures alors que les Talbot sont vite distancées et que Jaguar a déjà perdu toutes ses Type C après des surchauffes moteur causées par une carrosserie mal conçue. Profitant des problèmes techniques des favoris y compris de Ferrari (souci d’embrayage), c’est la Gordini de Jean Behra et Robert Manzon qui est aux commandes devant les Cunningham.

Alors que les Américaines ont des problèmes de soupape, la voiture française reste en tête et fait rêver la foule d’une victoire tricolore jusqu’à mi-course lorsqu’elle connaît des problèmes de freins irréversibles. L’espoir des spectateurs reste intact puisque la Talbot de Pierre Levegh passe alors en tête, ce dernier ayant décidé de disputer les 24 Heures à lui seul (il impressionna d’ailleurs cette année-là le patron de Mercedes, Alfred Neubauer, qui décida de l’embaucher en 1955).

Lire aussi : Il était une fois les 24 Heures du Mans. En 1932, Alfa Romeo double mise

Le pilote français est suivi par deux Mercedes 300 SL (la troisième ayant abandonné), un ton en dessous. Alors qu’il file vers la victoire, 50 minutes avant l’arrivée, sa Talbot ne repart pas du stand alors qu’elle était largement en tête. Pire, il doit abandonner (boulon de bielle défaillant). Hermann Lang et Fritz Riess prennent alors la tête. Le duo allemand l’emporte (277 tours soit 3 733,839 kilomètres à155,575 km/h de moyenne), le premier nommé l’emportant alors que cela restera à tout jamais son unique participation sarthoise.

On assiste même à un doublé Mercedes avec Helfrich / Niedermayer et la 300 SL établit un nouveau record de la distance. Cette auto connaîtra un vrai succès commercial par la suite avec ses célèbres portes. La Nash Healey n°10 prend la troisième place grâce à Johnson / Wisdom. À noter la deuxième victoire de suite en catégorie 750 – 1 000 cm3 pour Porsche et du succès d’une Cunningham C4 R en catégorie 5001 – 8 000 cm3

 

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