Voici un article que notre rédaction est heureuse de diffuser ici sur notre site. La thématique est « l’automobile ».
Le titre (comment le chinois Geely tisse sa toile) en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu.
Le post peut de ce fait être pris au sérieux.
RÉCIT – Le constructeur, propriétaire de Volvo, de Lotus, de Smart, s’apprête à investir dans les moteurs thermiques de Renault.
Jusqu’où ira Geely, ce groupe chinois basé à Hangzhou au sud-est du pays, dont le nom s’invite de plus en plus souvent dans l’actualité des constructeurs automobiles occidentaux?
En une dizaine d’années, Geely s’est glissé dans le paysage en prenant sans heurts le contrôle de belles marques européennes: le suédois Volvo Cars, racheté en 2010 à Ford, Manganese Bronze, le fabricant des «black cabs» londoniens, le malaisien Proton, lui-même propriétaire des voitures de course anglaises Lotus. C’est encore Geely qui a racheté à Daimler en 2019 la moitié du capital de Smart, ces petites voitures autrefois fabriquées en Moselle et désormais produites en Chine. Il est aussi devenu le premier actionnaire de Mercedes Group avec 9,69 % de son capital.
Production à moindres coûts
Sa route ne s’est pas arrêtée là. Geely a décidé de donner plus d’éclat à Polestar, la division de Volvo dédiée, à l’origine, aux courses de tourisme, devenue depuis une marque de voitures électriques de luxe. Le groupe privé chinois a même décidé de…
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