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A la une : Grand prix historique : le paradis des mécanos !

Voilà qui va vous ravir : Un nouvel éditorial que nous venons de relever sur internet et que nous vous reproduisons ci-dessous. Le thème est « l’automobile ».

Le titre (Grand prix historique : le paradis des mécanos !) est parlant.

Le chroniqueur (identifié sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.

Il n’y a pas de raison de douter du sérieux de ces infos.

Le texte a été publié à une date mentionnée 2022-10-21 22:14:00.

l’essentiel
L’Historic tour continue aujourd’hui et demain. Outre voir des courses disputées, c’est l’occasion de revoir des voitures atypiques et de rencontrer des passionnés de mécanique.

« Une heure de course, c’est dix heure de mécanique », assure Joël, la tête dans le baquet de son prototype Chapman.

Le grand prix historique d’Albi, c’est une véritable plongée dans l’univers de la mécanique. Un petit tour dans les paddocks suffit à s’en convaincre. Partout, on trouve des pilotes et des mécanos couchés sous les voitures clé en main, la tête dans le moteur en train de chercher d’où peut venir le problème. Si certains ont des mécaniciens, ce n’est pas le cas de la majorité des passionnés. Ici, quand on pilote, il faut savoir tout faire. « Si elles ne roulaient pas, ces voitures seraient dans des musées », rappelle Joël. D’ailleurs, plusieurs ont été achetés dans des musées puis remise en état pour la compétition. Pas de panique, on parle de mécanique pure. Rien à voir avec les voitures actuelles bourrées d’électronique. Un passage par le stand des protos le confirme. Ces grosses voitures qui ont roulé sur des circuits de légende comme Le Mans, Spa ou encore Monza… Une fois l’enveloppe partie, comme sur cette Grak MT 14 de 1973 ou cette Alfa Roméo de 1992, il ne reste qu’un moteur, et un baquet entourés de quelques tiges de fer ! « Une voiture de course, c’est synonyme de légèreté, même si il y a un poids à respecter », explique Joël.

Le grand prix historique, c’est aussi l’occasion de découvrir des voitures, qui ont marqué l’histoire automobile. Il y a les protos, les monoplaces, les voitures de tourisme. Mais on peut aussi découvrir des véhicules atypiques. Comme cette D.B Panhard. Une voiture, qui rappellera bien des souvenirs à tous les lecteurs des premiers albums de Michel Vaillant. Cette voiture de course de 1958, au petit moteur deux cylindres, a un passé prestigieux : 24 heures du Mans, 4 tours auto, 1 000 kilomètre du Nurburgring, Monthéry. A l’époque, certaines voitures couraient en rallye et en endurance. « C’est mon père qui l’a achetée dans un musée à Reims », explique François, en montrant « l’intérieur très spartiate ». Comme ses collègues, il sait tout faire. Ainsi, à Dijon, il a changé le moteur de la voiture avec deux ou trois copains. « J’en ai toujours un dans le coffre », avoue-t-il.

Un peu plus loin, c’est une mini jem qui attire notre attention. Une voiture de la seconde moitié des années « 60 », elle est aussi sortie d’un musée. C’est une mini « recarrossée » en voiture de course. Tomy, aussi en a une. Avant de la configurer pour aller sur les circuits, il allait au lycée avec.

Le grand prix historique, c’est ça. 300 véhicules, 300 histoires différentes !

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