Mois : septembre 2023

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Après avoir pris un trou dans la 10e spéciale, la 4e de la journée de samedi de ce rallye de l’Acropole, 10e des 13 manches du championnat du monde WRC, la voiture du pilote belge a été endommagée au niveau de la suspension avant-droite, a communiqué Hyundai.

Neuville abandonne pour la journée de samedi. Si l’état de la voiture le permet, il pourra reprendre la route dimanche, mais avec de telles pénalités que tout espoir de podium s’est envolé.

Avant ce rendez-vous en Grèce, Thierry Neuville occupait la 3e place au classement du championnat du monde avec 134 points derrière le Finlandais Kalle Rovanpera (170 points) et le Gallois Elfyn Evans (145), deux pilotes Toyota.

Le Français Sébastien Ogier (Toyota Yaris) a pris la tête du Rallye de Grèce.

Vous connaissez le dicton, « toujours copié, jamais égalé ». Une maxime qui colle bien au Land Rover Defender, très souvent lorgné et copié, et ce dès les années 50. Austin Gipsy, Fiat Campagnola, IVECO Massif, et plus récemment Ineos Grenadier. Même si le tout premier « Land » a été arrêté en 2016, son successeur Defender arrivé en 2020 a depuis aussi eu droit à des concurrents très inspirés. C’est simple, chaque grand groupe automobile chinois veut sa propre version du grand SUV anglais. Chez GreatWall le Haval Xianglong , chez Chery le Jetour Traveller, chez BYD le Yangwang U8, etc.

Polestone 01, encore un Defender chinois

D’une manière générale, beaucoup de constructeurs – chinois ou non- veulent mettre un pied dans le segment des SUV grand luxe. Sur les traces du Defender, mais aussi du Mercedes Classe G et (dans une moindre mesure) du Jeep Wrangler. Il n’y a qu’à voir le tout nouveau Santa Fe de Hyundai pour constater que le spectre Defender est partout ! L’énième copie du jour se nomme Polestone 01. Derrière cette marque qui rappelle sans équivoque Polestar, se cache le constructeur d’État BAIC, qui s’est associé à Pininfarina pour dessiner (ou reproduire ?) son nouveau modèle.

Hybride pour 1 000 kilomètres d’autonomie

Certes la poupe et la proue sont différentes du Britannique, mais tout dans sa silhouette, ses panneaux de carrosserie et même la forme de ses poignées semble avoir été calqués sur le Land Rover.…Lire la suite sur Autoplus

The Dukes of Hazzard est une série télévisée américaine en 147 épisodes de 50 minutes, créée par Gy Waldron et diffusée entre le 14 septembre 1979 et le 8 février 1985 sur le réseau CBS.

En France, elle arrive dès le 18 septembre 1980 sur Antenne 2 puis sur la Cinq. L’histoire est simple, la famille Duke se frotte depuis toujours au shérif Rosco P. Coltrane et au beau-frère de celui-ci, le maire, Jefferson Davis Hogg, dit Boss Hogg.

Pour échapper aux forces de l’ordre, quoi de mieux qu’une Dodge Charger ?  

Une Dodge Charger pour les Duke

 La production jette son dévolu sur l’emblématique Muscle Car de 1969, la Dodge Charger.

Peinte en orange, on la reconnaît également à ses portes soudées, son drapeau confédéré sur le toit, son klaxon capable de jouer les douzes premières notes de la chanson Dixie, mais surtout sa capacité à effectuer d’immenses sauts en longueur.

Une succession de cascades qui va coûter très cher à la production.

Combien de General Lee pour tourner la série ?

Le nombre de General Lee utilisées pendant le tournage varie selon les sources. Selon Ben Jones, acteur dans la série, et certains mécaniciens impliqués, ce seraient 325 voitures qui auraient été utilisées.

On parle donc de plus de deux voitures par épisode. Après avoir effectué un saut, les voitures étaient immédiatement retirées. Souvent pliées au cours de l’impact, elles avaient de toute façon des dommages structurels. Impossible alors de les confier à des cascadeurs ou acteurs pour de nouvelles scènes.

 Techniques de cinéma

 Pour les sauts, les cascadeurs lestent la voiture de sacs de sable placés dans le coffre, à hauteur de 300 à 450 kg. L’objectif étant d’éviter à la voiture de se renverser et de partir en tonneaux.

Au cours du tournage, les cascadeurs chercheront plusieurs techniques pour amortir les atterrissages. On va d’abord surélever l’avant des General Lee pour les empêcher de frotter la rampe de lancement, ou tenter d’atterrir sur d’énormes coussins gonflables.

Malgré toutes les précautions prises sur les plateaux de cinéma, les cascadeurs de Sheriff fais moi peur admettrons plus tard, ignorer la plupart du temps où la voiture aller finir sa course.

Faire toujours la même voiture, un défi

Au cours des premières années de la série, la production trouve facilement des modèles Dodge Charger. Quelque temps plus tard, la Warner Bros reprend la production de la série et décide d’intégrer la construction des General Lee en interne, dans leur propre atelier.

En effet, nombreux sont les téléspectateurs à écrire à la production pour leur signaler des incohérences entre les différentes voitures vues à l’écran. Plusieurs modèles différents seront utilisés mais cela ne doit pas se voir. Mais un autre problème va bientôt apparaître.

 Rupture de stock

 Au fil des épisodes, le besoin en voitures se fait tellement grand que les producteurs vont vite se trouver confrontés à un problème : ils ne trouvent plus assez de Dodge Challenger 69.

La production va alors commencer à recycler des sauts déjà tournés lors des précédentes saisons. Dans la dernière saison, on utilisera même des miniatures radiocommandées pour certaines cascades.

Un sacrilège pour de nombreux fans mais aussi pour les acteurs de la série, qui protestent en vain.

 Pourquoi General Lee et pourquoi ce drapeau ?

 Si les aventures des cousins Luke et Bo, et de leur cousine Daisy, serveuse au Repaire du sanglier vont vite connaître le succès, certaines critiques vont arriver des années plus tard.

En 2015, au lendemain d’une fusillade à Charleston, en Caroline du Sud, le Drapeau de la bataille des confédérés est attaqué par de nombreuses associations et citoyens américains.

On lui reproche de symboliser l’esclavage. Ben Jones, acteur de la série affirme de son côté que personne n’a jamais vu dans General Lee autre chose qu’un symbole de l’esprit d’indépendance, sans aucune connotation raciste.

La polémique poursuivra General Lee encore longtemps. Le Musée de Volo qui possède un exemplaire de la voiture refusera en 2020 d’en retirer le drapeau.

Les sportives n’ont plus le vent en poupe, c’est une évidence. La demande étant faible, l’offre l’est tout autant sachant que développer une moto de sport est particulièrement onéreux. Malgré tout, il en reste. Un peu.

Les Japonais, ce n’est plus ce que c’était

Si les marques japonaises s’affrontaient sur tous les circuits et marchés du monde avec leurs sportives en 600 et 1000 cm³, et même 750 et 400 dans des années plus reculées, ce n’est plus le cas.

La mythique GSXR qu’on a bien connu en 1100, 750, 600 puis 1000 n’est même plus au catalogue de la marque. Elle a été retirée de la vente en France l’année du doublé avec le titre de champion du monde MotoGP et le titre de champion du monde d’endurance avec le Sert. À ce jour, seule la 125 persiste.

Chez Yamaha, c’est la même chose. Il ne reste que la 125 en modèle 2023. La R1 s’est arrêtée en 2022 et la R6 avant. Il ne reste d’elle qu’une version “race” non homologuée pour rouler uniquement sur les circuits.

Kawasaki et Honda sont toujours là. Kawasaki avec sa ZX10R, sa ZX6R et même sa ZX4R avec son 4 cylindres de 399 cm³, une catégorie qu’on pensait enterrée depuis des lustres. Les verts font de la résistance et proposent aujourd’hui la plus vaste offre de sportives pour la route si on aime bien le vert.

Chez Honda, l’offre se résume à la seule CBR 1000 RR, la 600 n’étant plus là depuis longtemps. Il reste malgré tout la 650 R et la 500 R compatibles avec le permis A2 même si elles ne sont pas du tout aussi affutées qu’une CBR 600 RR.

L’Europe fait de la résistance

Du côté des machines européennes, l’offre est bien présente et dynamique comme elle l’a rarement été. Commençons par BMW avec sa S 1000 RR qui est venue affronter les japonais avec un moteur 4 cylindres en ligne qui était la marque de fabrique des Japonais. Les Allemands courent toujours après un titre mondial mais les résultats progressent doucement pour s’en approcher. On parlait un temps d’une S 600 RR, mais cela semble enterrer comme chez tous les constructeurs ou presque.

Une marque communique énormément sur ses sportives, c’est Ducati avec sa Panigale. Passée au V4 et trustant les podiums du mondial Superbike, la Panigale est une image forte pour la marque de Bologne même si les volumes de ventes demeurent faibles. La Panigale V2 reste fidèle au bicylindre à 90 degrés et se montre plus accessible à la conduite comme du côté du portefeuille.

Enfin, il ne fait pas mettre de côté les Aprilia RSV4 elles aussi animées par un moteur 4 cylindres en V comme la Ducati V4. Les italiennes sont restées fidèles à une architecture en V et ont laissée les 4 cylindres en ligne aux japonais et allemands.

Tout ceci fait peu de machines, résumons : la Honda CBR 1000, la Kawasaki ZX10R, la BMW S 1000 RR, la Ducati Panigale V4 et l’Aprilia RSV4 pour les plus fortes cylindrées. La KTM RC8C n’est pas homologuée. Pour les 600, ou plus exactement la 600, il ne reste que Kawasaki qui soit homologuée. Le plus étonnant est qu’on voit un écart important entre les motos qu’on voit en compétition et les motos qu’on trouve dans nos concessions.

La GSXR présente en endurance n’est pas au catalogue de Suzuki. Pareil pour la R1 chez Yamaha. Que va-t-il se passer pour les catégories Superbike et à plus courte échéance Supersport ? C’est difficile à percevoir quand on voit l’offre du marché de plus en plus déconnecté de la compétition.