Auteur/autrice : Justine COUCAL

Dans la même veine que son extérieur, le design soi-disant new-age de l’habitacle de la Scala ne représente pas un grand changement par rapport à ce que nous attendons de Skoda.

La fonctionnalité et la commodité restent cependant une priorité et sont incarnées par des caractéristiques familières « Simply Clever » telles que l’étui pour parapluie dans la porte, le porte-ticket sur le montant A du côté conducteur, la poubelle doublée dans la porte conducteur et grattoir à glace dans la trappe du réservoir de carburant. Pour l’année modèle 2024, vous pouvez ajouter à cette liste un chargeur de téléphone sans fil en option qui utilise l’air de refroidissement du système de climatisation de la voiture pour empêcher votre appareil de surchauffer pendant le chargement. Cet accent mis sur la commodité a longtemps été un grand attrait pour la marque, et ce sera sans aucun doute le cas également pour la Scala.

L’écran tactile de 8 pouces du système d’infodivertissement Bolero de notre voiture d’essai est l’attraction la plus remarquable dans un habitacle par ailleurs peu peuplé. Il se place librement vers l’avant d’un évidement central dans le tableau de bord, à portée de main du conducteur. Le carénage lui-même est fini avec des panneaux argentés texturés, qui s’étendent jusqu’aux panneaux de porte et contribuent à injecter un certain degré de couleur dans ce qui est par ailleurs un environnement de conduite résolument monochrome. Pour le dernier lifting, Skoda a élargi la palette de matériaux de l’intérieur de la Scala avec des textiles en tissu attrayants.

Un éclairage ambiant dans différentes nuances de couleurs est proposé en option et vaudrait la peine d’être acheté pour l’amélioration esthétique supplémentaire qu’il apporterait. Ailleurs, de simples commandes à cadran pour le système de climatisation manuel se trouvent vers la base de la console centrale, au-dessus d’un compartiment de rangement de taille décente.

L’écran tactile est livré en standard sur les modèles Scala SE et est utilisé pour exploiter une modeste liste de fonctionnalités standard qui incluent la connectivité DAB et Bluetooth. La navigation par satellite ne fait pas partie du package dans les spécifications de base ; vous l’obtenez à la place avec une installation d’infodivertissement plus grande, sur les modèles haut de gamme. Mais la possibilité de connecter votre smartphone via Android Auto ou Apple CarPlay signifie que vous pouvez toujours accéder aux applications de navigation telles que Google Maps ou Waze.

Le système lui-même est parfaitement intuitif et répond à vos entrées de manière relativement fluide. Ses graphismes ne se démarquent pas exactement comme étant les meilleurs du marché en termes de sophistication, mais l’écran est certainement clair et facile à lire. On pourrait en dire autant du nouvel écran d’instruments numériques de la voiture.

Cette plate-forme MQB-A0 étendue porte ses fruits en matière d’espace intérieur. Même si l’empattement de 2,65 m de la Scala est plus court que celui de la Ford Focus, Skoda a néanmoins su libérer un espace impressionnant pour les jambes arrière. La largeur de l’habitacle est cependant plus étroite, encore une fois en raison des restrictions de la plate-forme du modèle supermini : beaucoup plus confortable sur la deuxième rangée pour deux occupants que trois.

Témoignant du savoir-faire de Skoda en matière d’aménagement intérieur intelligent, la Scala offre également beaucoup d’espace de coffre : avec les sièges arrière rabattables divisés 60/40 en place, ce volume s’élève à 467 litres, s’étendant à 1 410 litres avec les sièges rabattus. En comparaison, la Golf et la Focus font défaut, avec des capacités de stockage siège relevé respectives de 380 litres et 375 litres.

Bayonne peut-il devenir un bastion imprenable du rugby hexagonal ? Invaincu à Jean-Dauger la saison passée (la défaite face à Pau a eu lieu à Saint-Sébastien), l’Aviron a conservé sa suprématie dans sa tanière ce samedi lors de la 15eme journée de Top 14 face à Clermont (21-13). Un succès lourd de sens pour les Ciel et Blanc au vu de leur joie significative au coup de sifflet final. En raison de la correction reçue au match aller en Auvergne d’abord (46-14). Mais aussi et surtout parce que les Basques prennent leurs distances au classement avec la zone rouge.

Désormais 10eme avec 32 points, l’Aviron Bayonnais possède sept unités d’avance sur le barragiste, Montpellier. Ce succès du jour face à Clermont n’a cependant pas été aisé à obtenir. Sur une inspiration de Benjamin Urdapilleta, Alivereti Raka a surgi pour reprendre un coup de pied de l’ouvreur argentin entre les lignes. Une belle action collective achevée par l’arrière Thomas Rozière en terre promise (3-7, 8eme). C’est avant la demi-heure de jeu que les locaux ont réagi. L’ancien Clermontois Arthur Iturria a capté une pénaltouche qui est allée au bout avec Rémi Bourdeau (10-10, 28eme).

Un autre ex-Jaunard a également joué un mauvais tour à son ancien club. Cheikh Tiberghien a débordé sur le flanc droit et servi Rémy Baget qui au lieu de plonger a fait preuve d’altruisme avec une passe à l’intérieur inattendue pour l’essai de Guillaume Martocq (15-10, 47eme). Une fois l’avantage pris, les hommes de Grégory Patat ont davantage maîtrisé la rencontre. Camille Lopez, grâce à deux pénalités supplémentaires, a validé le succès des siens (21-13, 74eme). En face, l’ASM a montré de l’indiscipline grossière. Notamment de la part de ses éléments sortis du banc. Tomas Lavanini, en position de hors-jeu, ou encore Daniel Bibi Biziwu qui a écopé d’un carton jaune (74eme) n’ont pas effectué une entrée satisfaisante.

Clermont, 7eme, repartira bredouille de la Côte basque, sans le bonus défensif qui lui aurait permis de rester dans le top 6. Trois points séparent seulement les deux adversaires du jour au stade Jean-Dauger.

Des réflexes rapides ont permis de sauver la situation, alors que l’ambulancier Tim Crosbie a esquivé un véhicule en mouvement et évité de nombreuses blessures.

Le secouriste Tim Crosbie a démontré son expertise mardi à Peabody, dans le Massachusetts, en réagissant rapidement pour éviter une collision routière potentiellement désastreuse. Sa rapidité d’esprit a non seulement protégé lui-même et son partenaire, mais a également assuré la sécurité de leur patient.

La vidéo de l’incident filmée à partir d’une caméra de tableau de bord sur l’ambulance montre que Crosbie conduisait sur la I-95 dans des conditions enneigées, ce qui nuisait à la visibilité. Alors qu’il s’approchait d’un viaduc, ce qui semble être une Dodge Charger blanche a émergé du terre-plein central et a commencé à rouler vers lui.

« La prochaine chose que je vois du coin de mon œil gauche est une voiture traversant le terre-plein central », a déclaré Crosbie à NBC10 Boston. « En gros, c’est juste contre moi. »

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La Charger roulait dans la direction opposée lorsqu’elle a perdu le contrôle, peut-être en raison des conditions défavorables. La police d’État a déclaré qu’en passant des voies en direction nord aux voies en direction sud, il a heurté un garde-corps, a tourné perpendiculairement à la route, a heurté un terrain surélevé et a commencé à rouler vers l’ambulance.

« J’ai dû prendre la décision de dernière minute – ou la décision de dernière seconde de tourner à gauche ou à droite, et juste comme ça me arrivait, vous savez, j’ai choisi d’aller à droite », a déclaré Crosbie au WCVB. « Et évidemment, c’était la bonne décision à prendre. »

Après avoir évité le véhicule venant en sens inverse, Crosbie s’est arrêté et est sorti de l’ambulance, laissant son partenaire, Tim Wareham, s’occuper de leur patient tout en allant voir le conducteur du Charger.

Crosbie admet qu’il « s’attendait au pire » lorsqu’il s’est approché du véhicule, en raison de la gravité de l’accident. Cependant, à mesure qu’il se rapprochait, le conducteur a pu baisser sa vitre et « il semblait aller bien. Il était juste mort de peur », selon le chauffeur de l’ambulance.

Heureusement, Crosbie et Wareham ont pu continuer vers l’hôpital général de masse avec leur patient après l’incident.

GIF Cataldo

Le contrôle technique va être une grande épreuve pour les voitures sans permis. L’absence de contrôle pendant des années a favorisé la détérioration des voiturettes

Des voitures en manque d’entretien ?

L’entretien était souvent réalisé par des connaissances et non par de professionnels. Il n’est pas rare de voir des réparations douteuses ne pouvant pas passer le contrôle technique.

Ainsi, scotch, fils de fer ou encore colliers riselants ont pu sauver des voitures avec des réparations rapides et peu coûteuses. Cependant, peu de chance qu’un pare-chocs tenant avec du scotch, un échappement maintenu avec du fil de fer ou encore une durite serrée avec un riselant, soit reçu au contrôle technique.

La plupart des propriétaires en sont conscients et commencent à remettre en état leur véhicule avant l’échéance.

Une hausse des commandes de pièces détachées

Les professionnels du secteur observent alors une hausse des demandes de pièces détachées. Le contrôle technique bientôt obligatoire pour ces véhicules semble stimuler les commandes des propriétaires.

Les professionnels du milieu attendent alors une hausse du chiffre d’affaires de 25 %. Boucliers, optiques, rétroviseurs, échappement ou encore kit de freinage devraient être sollicités par les propriétaires. D’autant plus que dès 2025, les voiturettes devront aussi subir un examen du bruit et de la pollution.

Il semble donc nécessaire de prendre les devants pour remettre rapidement en conformité une voiture sans permis. Il ne serait pas surprenant de voir les délais de livraison s’allonger à l’approche de l’échéance pour certaines pièces plébiscitées. De plus, les centres de contrôle technique, encore peu nombreux à avoir l’agrément ne devraient pas avoir beaucoup de créneaux disponibles.

Elle présente plus de 200 documents, tels que des lettres, des poèmes, des essais et cet ouvrage inachevé sur John Lennon, offrant un récit visuel des premiers jours du groupe en Angleterre et en Allemagne. Figurent notamment des missives échangées entre Sutcliffe, Lennon et leur cercle intime.

Une collection qui résonne avec l’esprit vibrant d’une certaine culture juvénile de Liverpool à la fin des années 1950 et au début des années 60.

La collection a été organisée par la sœur de Sutcliffe, Pauline, « pour mettre en avant son talent artistique au-delà de son association avec les Beatles ». Depuis le décès de cette dernière en 2019, c’est Diane Vitale qui gère la succession, et cherche à présent à vendre l’ensemble de la collection.

Des révélation dans ce roman inachevé ?

Au fil des années, la relation entre John Lennon et Stuart Sutcliffe a suscité de nombreuses conjectures parmi leurs proches et fans. Pauline Sutcliffe, dans son ouvrage The Beatles’ Shadow (non traduit en français), cité par Express, déclare : « Pendant de longues années, j’ai été convaincue qu’ils entretenaient une relation sexuelle. J’ai choisi de me taire pour protéger ma mère de son vivant et par respect pour les convenances d’autrefois. »

À propos de Sutcliffe, John Lennon confiait : « J’avais une grande admiration pour Stu. Je comptais sur lui pour son honnêteté ; si Stu disait que quelque chose était bon, j’y croyais. » Le roman inachevé écrit par Stuart Sutcliffe sur John Lennon contient-il des révélations, ou des indices sur le sujet ? La Sutcliffe Estate entretient pour l’instant le mystère autour de ce texte…

Le « James Dean de Hambourg »

En tout cas, Stuart Sutcliffe rencontre John Lennon alors qu’ils sont tous deux étudiants en art à Liverpool. Après avoir rejoint Paul McCartney et George Harrison dans le groupe de skiffle, les Quarrymen, ce sont les deux premiers qui trouvent le nom des Beatles, inspiré de la Beat Generation et du groupe de Buddy Holly, The Crickets.

Stuart Sutcliffe accompagne les Beatles lors d’une résidence de concert dans un club de Hambourg. Là-bas, il rencontre Astrid Kirchherr, une habituée des concerts, dont il tombera amoureux. Cette dernière devient la photographe principale des premières années des Beatles.

Le groupe doit quitter le nord de l’Allemagne après une résidence tumultueuse – Paul McCartney et le batteur Pete Best ont été expulsés pour suspicion d’incendie criminel -, mais ils y retournent au printemps 1961. Fiancé à Astrid Kirchherr, Stuart Sutcliffe quitte les Beatles plus tard cette année-là pour s’installer à Hambourg, vivre avec elle et poursuivre ses études d’art.

Il meurt d’une hémorragie cérébrale à 21 ans seulement, en avril 1962. Malgré son jeune âge, il avait déjà accumulé un important corpus d’art visuel, principalement centré sur la peinture expressionniste abstraite.

Cette collection artistique, ainsi que des objets, dont une lettre de Sutcliffe où le nom des Quarrymen est barré et remplacé par « Beatals« , sont à présent cédés par la Sutcliffe Estate.

« Devenue une charge »

Diane Vitale se dit « ouverte à diverses propositions, notamment la conservation de la collection en tant qu’ensemble ou sa distribution parmi des musées, des universités et des collectionneurs », dans le communiqué de la Sutcliffe Estate.

« Malgré sa valeur, la gestion de la succession est devenue une charge, ce qui a conduit à la décision de la vendre », ajoute-t-elle.

Ces œuvres sont actuellement stockées à East Hampton, à New York, et ont été prêtées à des musées tels que le Guggenheim de New York et le Rock and Roll Hall of Fame and Museum de Cleveland.

L’administratrice de ces archives a déclaré avoir reçu de nombreuses demandes depuis leur mise en vente le 23 janvier dernier.

Crédits photo : Rodhullandemu (CC BY-SA 4.0)

Un copilote n’est jamais réellement à la retraite. S’il a décidé de s’en aller un jour de huitième sacre mondial à Monza (Italie) avec Sébastien Ogier en novembre 2021, Julien Ingrassia est loin d’en avoir terminé avec son sport. Exemple cette semaine, l’Aixois promène sa silhouette élancée à chaque spéciale, équipé d’un micro, son nouvel outil de travail, puisqu’il est devenu consultant pour Canal+. Une activité parmi d’autres, il continue également de traîner sur les épreuves en tant qu’ambassadeur pour le WRC, sans oublier son travail de consulting auprès de pilotes et copilotes désireux d’absorber ses précieux conseils. Un peu plus de deux dans après avoir raccroché son casque et son roadbook, il remonte volontiers le fil d’une carrière en or, sans nostalg